



Ca, c'était avant, on voit une nette différence entre la peinture de la tourelle (pour rappel, RAL 8000 AK et éclaircies XF93, puis éraillures dans la foulée), et la peinture du châssis, de manière plus conventionnelle : laque, puis légère couche de blanc (comme pour les bidons), puis XF92 et éclaircies en XF93. Dans la foulée, éraillures, et là je retrouve le même comportement que pour les bidons, il faut y aller pour faire partir la peinture. Le travail est long, lent, mais super précis, pile ce que je voulais. Donc il faut refaire la tourelle. L'effet est super pour représenter un badigeon fait à la va vite en blanc ou avec de la terre, mais pour montrer l'usure de la peinture dans le désert, ça le fait moins. Donc on y retourne.




Donc reprise de la tourelle selon le principe évoqué plus haut.




Et voilà. On continue à voir des effets de surface intéressants, le gris panzer ressort bien sous les teintes sables, par contre, vu le nombre de couches de peinture, on peut complétement oublier le préombrage. Pour les prochains, genre le Pz.III, je ferai un postombrage, plus efficace.
La suite, c'est la peinture des petits détails, rapidement, les galets de roulement, les accessoires, puis, klir, décals et reklir, et enfin reprise des éraillures sur les décals. Je profite de l'occasion pour coller les jerrycans, et j'attends que le klir soit bien sec pour faire un jus léger, passer les parties métalliques au graphite et finir la peinture des accessoires. Manque que les chenilles, et ça sentira bon la fin !
Au passage, un grand merci à Yoyo sans qui j'aurais balancé sans réfléchir du XF60, alors que ces nouvelles teintes sont tout simplement magnifiques.