Swordfish mk.I : No.824 NAS, HMS Eagle, Taranto Raid, 11 novembre 1940
Posté : dim. 26 avr. 2020 22:44
Je continue d'ouvrir ces merveilleuses petites boites Airfix au 72, je continue sur ma lancée d'improbables aéroplanes britanniques, avec, cette fois-ci, un vieux copain que je connais depuis un bon moment mais que je colle pour la première fois, le Swordfish.
Le Swordfish, avec son look de vieux biplan fragile, c'est quand même, mine de rien, l'acteur principal du Raid de Taranto, l'attaque de la flotte italienne à quai par l'aéronavale britannique fin 40, attaque que les japonais vont étudier attentivement avant de la reproduire à grande échelle un an plus tard. Le Swordfish, c'est aussi lui qui va lancer la torpille qui va bloquer le gouvernail du Bismarck en Atlantique Nord en mai 41. Voilà pour la minute histoire, place aux images.
Tout commence par la cellule, bien foutue, bien détaillée, avec des ajustements précis. Forcément, avec une boite à ce niveau de prix, il ne faut pas s'attendre à des add-ons. On reste fidèle à la philosophie Airfix, une maquette, dex décos et basta. Pas de photodec, pas de résine. J'aurais pu acheter une planche Eduard pour détailler le cockpit, mais à cette échelle je ne trouve pas que ce soit nécessaire. Néanmoins, vu que la cellule est ouverte, on voit plutôt bien l'intérieur, que je ne me peux m'empêcher de détailler un brin : des harnais en bande cache peinte, des manettes en scratch, un peu de trucs ajoutés en me basant sur les notices de montages des mêmes oiseaux au 48 ou au 32, et deux ou trois panneaux copiés sur la planche Eduard. La radio, peu visible est peinte et patinée, tout est prêt pour fermer le fuselage !
Le Swordfish, avec son look de vieux biplan fragile, c'est quand même, mine de rien, l'acteur principal du Raid de Taranto, l'attaque de la flotte italienne à quai par l'aéronavale britannique fin 40, attaque que les japonais vont étudier attentivement avant de la reproduire à grande échelle un an plus tard. Le Swordfish, c'est aussi lui qui va lancer la torpille qui va bloquer le gouvernail du Bismarck en Atlantique Nord en mai 41. Voilà pour la minute histoire, place aux images.
Tout commence par la cellule, bien foutue, bien détaillée, avec des ajustements précis. Forcément, avec une boite à ce niveau de prix, il ne faut pas s'attendre à des add-ons. On reste fidèle à la philosophie Airfix, une maquette, dex décos et basta. Pas de photodec, pas de résine. J'aurais pu acheter une planche Eduard pour détailler le cockpit, mais à cette échelle je ne trouve pas que ce soit nécessaire. Néanmoins, vu que la cellule est ouverte, on voit plutôt bien l'intérieur, que je ne me peux m'empêcher de détailler un brin : des harnais en bande cache peinte, des manettes en scratch, un peu de trucs ajoutés en me basant sur les notices de montages des mêmes oiseaux au 48 ou au 32, et deux ou trois panneaux copiés sur la planche Eduard. La radio, peu visible est peinte et patinée, tout est prêt pour fermer le fuselage !
