Re: Pz.Kpfw.II Ausf. F : Bir Hakeim 1942
Posté : mer. 15 déc. 2021 00:19
Je laisse Mr. Grofion s'amuser des divers acronymes, quand à moi, en attendant de recevoir mes couleurs demain soir, j'ai un peu avancé sur les accessoires.



Peinture générale du Panzer en gris moyen XF53, je sais, trop clair pour un gris panzer XF63, mais c'est juste une sous-couche. Reprise des lignes de structure en gris panzer, nettement plus sombre. Du coup, on commence à distinguer un certain contraste.
Je profite de la séance pour balancer une couche sur la volée de jerrycans qui vont accompagner notre ami. Une bonne couche de klir sur l'ensemble, et on laisse dormir 24h.


Une couche de laque sur les bidons, un léger séchage, et ensuite quelques légères couches de sable foncé XF60, puis la phase de patine, alternance d'eau, de pinceau à poils durs, de coton-tige, cure-dent, bref, tout ce qui peut fragiliser la peinture en surface et laisser apparaitre la couche inférieure. L'avantage avec la laque, c'est que l'on a une maîtrise totale du processus : on s'arrête quand on est satisfait.
Et enfin, masquages des bidons pour peindre les croix blanches, qui marquaient les bidons contenant de l'eau, et nouvelle séance d'éraillures avec les outils précédents, jusqu'au niveau d'usure voulu.



Peinture générale du Panzer en gris moyen XF53, je sais, trop clair pour un gris panzer XF63, mais c'est juste une sous-couche. Reprise des lignes de structure en gris panzer, nettement plus sombre. Du coup, on commence à distinguer un certain contraste.
Je profite de la séance pour balancer une couche sur la volée de jerrycans qui vont accompagner notre ami. Une bonne couche de klir sur l'ensemble, et on laisse dormir 24h.


Une couche de laque sur les bidons, un léger séchage, et ensuite quelques légères couches de sable foncé XF60, puis la phase de patine, alternance d'eau, de pinceau à poils durs, de coton-tige, cure-dent, bref, tout ce qui peut fragiliser la peinture en surface et laisser apparaitre la couche inférieure. L'avantage avec la laque, c'est que l'on a une maîtrise totale du processus : on s'arrête quand on est satisfait.
Et enfin, masquages des bidons pour peindre les croix blanches, qui marquaient les bidons contenant de l'eau, et nouvelle séance d'éraillures avec les outils précédents, jusqu'au niveau d'usure voulu.